Philippe Lucas - « Le collectif s’est formé au fur et à mesure de la compétition »
Aujourd'hui, Sud Ouest fait le point sur ce qu'est devenue la génération
Gambardella. En 2013, Prior, Pellenard, Vada, Laborde, entre autres,
soulevaient la "coupe de France des jeunes". Presque quatre ans plus
tard, l'entraîneur des U19 à l'époque, Philippe Lucas, témoigne :
« Si on ajoute Enzo Crivelli (prêté à Bastia, NDLR), ça fait un joueur sur deux, ce n’est pas si mal. À la base, ce n’était pas une génération extraordinaire. Le collectif s’est formé au fur et à mesure de la compétition avec des personnalités qui se sont dégagées. On savait que ça serait compliqué de gérer l’après. Il y en a qui l’ont bien fait, d’autres non, certains se sont révélés. »
L'actuel entraîneur des U17 Régionaux explique aussi pourquoi cette génération a eu un peu de mal à s'imposer : « La Gambardella, c’est une belle aventure, mais ça ne donne aucune certitude. Il reste des marches compliquées à franchir car c’est l’âge où on leur rend la liberté, où ils commencent à avoir un petit statut. On arrive à définir des profils. Mais on ne maîtrise pas l’environnement, est-ce que les têtes vont tourner. Le haut niveau, ce n’est pas se présenter sur le terrain de temps en temps. C’est de la constance sur et hors du terrain. »
« Si on ajoute Enzo Crivelli (prêté à Bastia, NDLR), ça fait un joueur sur deux, ce n’est pas si mal. À la base, ce n’était pas une génération extraordinaire. Le collectif s’est formé au fur et à mesure de la compétition avec des personnalités qui se sont dégagées. On savait que ça serait compliqué de gérer l’après. Il y en a qui l’ont bien fait, d’autres non, certains se sont révélés. »
L'actuel entraîneur des U17 Régionaux explique aussi pourquoi cette génération a eu un peu de mal à s'imposer : « La Gambardella, c’est une belle aventure, mais ça ne donne aucune certitude. Il reste des marches compliquées à franchir car c’est l’âge où on leur rend la liberté, où ils commencent à avoir un petit statut. On arrive à définir des profils. Mais on ne maîtrise pas l’environnement, est-ce que les têtes vont tourner. Le haut niveau, ce n’est pas se présenter sur le terrain de temps en temps. C’est de la constance sur et hors du terrain. »
Photo : Thierry David / Sud Ouest