Marius Trésor - « Faire une série »
Dans l'émission Soir de Foot de GOLD FM, Marius Trésor a évoqué la réception d'Angoulême ce soir à 19h dans le cadre de la septième journée de CFA 2 :
« La réserve est en ce moment dans une très mauvaise posture, c'est un match à gagner à tous prix, pour respirer un peu mieux, et surtout, essayer de faire une série qui te permettrait de remonter au classement, parce qu'il y a 14 équipes et nous sommes 12èmes. Tout ça n'empêche pas qu'on puisse sortir des jeunes, mais quand on est en CFA 2 et qu'on regarde derrière, c'est la DH. Et pour le staff, tu ne pourrais plus faire jouer des professionnels. Il faut qu'on reste en CFA 2, pour l'instant. Angoulême est pour l'instant devant nous et il n'y a que deux équipes qui sont derrière, il faut faire en sorte qu'il y en est un peu plus. Une des difficultés pour les jeunes, c'est de s'appeler Bordeaux, parce que toutes les équipes ont envie de battre une réserve pro. Ce sont des choses qu'on leur répète souvent, c'est très difficile pour vous, parce que dans les équipes qu'on rencontre, il y a des garçons qui sont passés par des centres et qui n'ont pas réussi et quand ils jouent contre une réserve pro, ils ont une envie terrible... Le discours, c'est de leur faire comprendre qu'un match, tu ne peux le gagner que sur le terrain, et non par le nom de ton équipe. »
Mais alors, est-ce que le calendrier, d'un match toutes les deux semaines en raison de la coupe de France, est un handicap pour la CFA 2 ? « Je ne pense pas que ce soit un gros handicap, parce que les autres c'est pareil. Nous avons aussi des oppositions avec les pros, on s'entraîne régulièrement. Les garçons qui sont chez nous, sont là presque tous les jours. Quand tu vas à Pau, que tu as huit occasions en deuxième période, que tu te présentes à deux-trois reprises en face à face avec le gardien, tu crois que c'est le fait de ne pas avoir joué le week-end d'avant qui fait que tu ne marques pas ? C'est le manque de confiance ou d'adresse. Ça se travaille, on le fait, mais j'aimerais mettre les garçons en situations, avec un défenseur contre deux attaquants. »
« La réserve est en ce moment dans une très mauvaise posture, c'est un match à gagner à tous prix, pour respirer un peu mieux, et surtout, essayer de faire une série qui te permettrait de remonter au classement, parce qu'il y a 14 équipes et nous sommes 12èmes. Tout ça n'empêche pas qu'on puisse sortir des jeunes, mais quand on est en CFA 2 et qu'on regarde derrière, c'est la DH. Et pour le staff, tu ne pourrais plus faire jouer des professionnels. Il faut qu'on reste en CFA 2, pour l'instant. Angoulême est pour l'instant devant nous et il n'y a que deux équipes qui sont derrière, il faut faire en sorte qu'il y en est un peu plus. Une des difficultés pour les jeunes, c'est de s'appeler Bordeaux, parce que toutes les équipes ont envie de battre une réserve pro. Ce sont des choses qu'on leur répète souvent, c'est très difficile pour vous, parce que dans les équipes qu'on rencontre, il y a des garçons qui sont passés par des centres et qui n'ont pas réussi et quand ils jouent contre une réserve pro, ils ont une envie terrible... Le discours, c'est de leur faire comprendre qu'un match, tu ne peux le gagner que sur le terrain, et non par le nom de ton équipe. »
Mais alors, est-ce que le calendrier, d'un match toutes les deux semaines en raison de la coupe de France, est un handicap pour la CFA 2 ? « Je ne pense pas que ce soit un gros handicap, parce que les autres c'est pareil. Nous avons aussi des oppositions avec les pros, on s'entraîne régulièrement. Les garçons qui sont chez nous, sont là presque tous les jours. Quand tu vas à Pau, que tu as huit occasions en deuxième période, que tu te présentes à deux-trois reprises en face à face avec le gardien, tu crois que c'est le fait de ne pas avoir joué le week-end d'avant qui fait que tu ne marques pas ? C'est le manque de confiance ou d'adresse. Ça se travaille, on le fait, mais j'aimerais mettre les garçons en situations, avec un défenseur contre deux attaquants. »
