Yannick Stopyra - « Il y a des gens qui parlent, mais nous, on travaille »
Toujours sur GOLD FM et suite au titre de champion de France U19, Yannick Stopyra est revenu sur les critiques envers le travail effectué à la formation aux Girondins :
« Ce qui m’a irrité un peu, c’est que des anciens collègues, avec qui j’ai joué, qui ne sont même pas éducateurs, même pas entraîneurs, qui ne se lèvent même pas le matin, qui ne font pas les tournois, qui ne font pas les kilomètres pour aller voir leurs enfants, aller voir des gamins, qui se permettent de dire qu’on n’a pas d’équipes. Ils ne savent même pas le classement des U17 et des U19. Les U17, à un point près, ils faisaient les phases finales. On avait deux équipes. Ils ont regardé quoi ? Les classements, les transferts de joueurs... Ils pensaient que les Mbappé, ça arrivait comme ça. Donc tout ça, ça m’a irrité. C’est pour ça que j’étais très en colère. Ici, on a encaissé, il y a eu des critiques qui ont été très très lourdes, notamment pour une radio qui a fait beaucoup de mal. En plus, c’est un ancien joueur de la maison. Avant, il faut regarder, il faut faire. Et aujourd'hui, il y a des gens qui parlent, mais nous, on ne parle pas, on travaille. Même s'il ne faut pas s’arrêter. Mais ce n’est pas du tout de la rancœur contre ces gens. Simplement, moi quand je vais acheter mon pain, je suis respectueux du boulanger qui se lève à 2-3 heures du matin pour faire son pain. Nous, on travaille et aujourd’hui on est récompensés. »
« Ce qui m’a irrité un peu, c’est que des anciens collègues, avec qui j’ai joué, qui ne sont même pas éducateurs, même pas entraîneurs, qui ne se lèvent même pas le matin, qui ne font pas les tournois, qui ne font pas les kilomètres pour aller voir leurs enfants, aller voir des gamins, qui se permettent de dire qu’on n’a pas d’équipes. Ils ne savent même pas le classement des U17 et des U19. Les U17, à un point près, ils faisaient les phases finales. On avait deux équipes. Ils ont regardé quoi ? Les classements, les transferts de joueurs... Ils pensaient que les Mbappé, ça arrivait comme ça. Donc tout ça, ça m’a irrité. C’est pour ça que j’étais très en colère. Ici, on a encaissé, il y a eu des critiques qui ont été très très lourdes, notamment pour une radio qui a fait beaucoup de mal. En plus, c’est un ancien joueur de la maison. Avant, il faut regarder, il faut faire. Et aujourd'hui, il y a des gens qui parlent, mais nous, on ne parle pas, on travaille. Même s'il ne faut pas s’arrêter. Mais ce n’est pas du tout de la rancœur contre ces gens. Simplement, moi quand je vais acheter mon pain, je suis respectueux du boulanger qui se lève à 2-3 heures du matin pour faire son pain. Nous, on travaille et aujourd’hui on est récompensés. »
