Philippe Lucas - « Qu’ils aillent toucher le plus souvent possible au niveau pro »
Le 1er septembre dernier, l'équipe professionnelle
des Girondins de Bordeaux affrontait Eibar en match amical à Bayonne
(0-0). Et comme régulièrement depuis le début de la saison, Jocelyn
Gourvennec avait fait appel à plusieurs jeunes pour cette rencontre. Une
satisfaction pour l'entraîneur de la réserve, Philippe Lucas, comme il l'explique sur GOLD FM, dans l'émission Soir de Foot :
« Ce sont des garçons qui sont à l’écoute, ça c’est important. J’ai regardé le match amical, j’ai vu le petit Carrique qui est rentré, qui a déjà un peu plus d’expérience, il va un peu plus souvent que les autres avec le groupe professionnel. Et le petit Benrahou, qui lui a été un peu trop timide. Prendre la mesure de la vitesse, de l’impact qu’on retrouve chez les pros, c’est ça qu’il faut qu’ils apprennent. Et je trouve que c’est un bon passage cette National 3. Ce n’est pas le même niveau que la Ligue 1 bien entendu, mais dans l’impact c’est quand même solide, il faut faire plus vite, il faut aller plus vite, sinon, on a le cul par terre. C’est l’objectif numéro 1, qu’ils aillent toucher le plus souvent possible au niveau professionnel, à travers les matchs amicaux comme ce week-end (contre Eibar, NDLR) ou des entraînements, parce que c’est comme ça qu’on acquiert le rythme. On dit toujours que c’est en forgeant qu’on devient forgeron, donc là, ils sont au contact de ce qui se fait le mieux, du plus haut niveau qui soit, donc il est évident que s’ils sont intelligents, ils prendront la mesure, s'ils ont les qualités. Et s’ils vont là-haut, c’est que je pense et qu'on pense qu’ils ont les qualités pour. De toute façon, c'est à force de jouer. Plus on joue à un haut niveau, plus on a la capacité à se mettre à ce niveau-là, plus on acquiert aussi de la confiance, de l’expérience et c'est comme ça que ça marche. Nous, c’est ce qu’on s’est fixé comme objectif avec Matthieu Chalmé, plus ils vont là-haut faire les entraînements et mieux on est. »
« Ce sont des garçons qui sont à l’écoute, ça c’est important. J’ai regardé le match amical, j’ai vu le petit Carrique qui est rentré, qui a déjà un peu plus d’expérience, il va un peu plus souvent que les autres avec le groupe professionnel. Et le petit Benrahou, qui lui a été un peu trop timide. Prendre la mesure de la vitesse, de l’impact qu’on retrouve chez les pros, c’est ça qu’il faut qu’ils apprennent. Et je trouve que c’est un bon passage cette National 3. Ce n’est pas le même niveau que la Ligue 1 bien entendu, mais dans l’impact c’est quand même solide, il faut faire plus vite, il faut aller plus vite, sinon, on a le cul par terre. C’est l’objectif numéro 1, qu’ils aillent toucher le plus souvent possible au niveau professionnel, à travers les matchs amicaux comme ce week-end (contre Eibar, NDLR) ou des entraînements, parce que c’est comme ça qu’on acquiert le rythme. On dit toujours que c’est en forgeant qu’on devient forgeron, donc là, ils sont au contact de ce qui se fait le mieux, du plus haut niveau qui soit, donc il est évident que s’ils sont intelligents, ils prendront la mesure, s'ils ont les qualités. Et s’ils vont là-haut, c’est que je pense et qu'on pense qu’ils ont les qualités pour. De toute façon, c'est à force de jouer. Plus on joue à un haut niveau, plus on a la capacité à se mettre à ce niveau-là, plus on acquiert aussi de la confiance, de l’expérience et c'est comme ça que ça marche. Nous, c’est ce qu’on s’est fixé comme objectif avec Matthieu Chalmé, plus ils vont là-haut faire les entraînements et mieux on est. »
